Nouvelles et courriers
Weekly Letter from Jean-Yves - Feedback on Feedback
Cela fait deux semaines maintenant que je me demande comment je vais bien pouvoir trouver le temps de rédiger cette lettre hebdomadaire étant donné un emploi du temps tellement chargé ces temps-ci que, au-delà de la difficulté de trouver les plages de travail nécessaires entre une conférence à Houston jusqu’à mardi et une soirée presque pas dansante le jeudi, ’il est également difficile de prendre de la hauteur pour réfléchir et vous faire part de nos projets en cours.
Weekly Letter from Jean-Yves - Coffee and Conversation
Ce matin j’avais le plaisir d’accueillir les parents pour notre premier petit-déjeuner, un événement qui déroulera mensuellement jusqu’à la fin de l’année scolaire. C’était une occasion idéale pour moi de prendre le pouls de l’école et d’identifier ce qui interroge nos familles, ce qui les inquiète, ce qui leur plaît ou au contraire les déçoit, ce qu’ils préfèrent ou ce qu’ils aiment moins.
Weekly Letter from Jean-Yves - Reading and Friendship
La lecture, disait Proust, est une amitié. Vous êtes nombreux et nombreuses à nous avoir fait cette semaine l’amitié de passer dans les classes pour y lire une histoire et je vous en remercie. Les enfants ont pris beaucoup de plaisir à vous écouter et j’espère que les lecteurs et les lectrices, parents comme collègues, ont également passé un bon moment.
Weekly Letter from Jean-Yves - Passionate and Fascinating
C’est la saison des inscriptions, ce qui signifie que je rencontre de très nombreuses familles désireuses d’inscrire leur.s enfants.s a The École. Vous le savez, cette année il y a moins de places disponibles mais nous avons par contre toujours autant de candidats. Comme on dit dans le jargon des admissions, c’est tendu ! Dans ce cadre là, la question qui m’est le plus souvent posée est la suivante : quel type d’enfants recherchez-vous ?
Weekly Letter from Jean-Yves - Twenty Happy New Years
Il y a tout juste 20 ans je démarrais ma carrière d’enseignant dans un collège du sud de la France. Et pour ne rien vous cacher, mon entrée dans le métier s’est faite un peu dans la douleur. Entre le sentiment de ne pas toujours bien réussir mes cours, des élèves quelque peu récalcitrants, le parcours de formation à l’université deux fois par semaine et une tutrice certes bienveillante mais très exigeante, j’éprouvais le weekend venu le besoin de décompresser et de penser à toute autre chose.